Happy People Work Better

The Canadian Journal of Physician Leadership (CJPL) is a peer-reviewed journal launched in 2014. Published quarterly, it focuses on topics and issues related to leadership and the health care system as they pertain mainly, but not exclusively, to physicians and physician leaders.

Volume 4, Issue number 3, Happy People Work Better features:

CSPL Volume 4 – Happy People Work BetterDownload

Énouncé au CTV/W5 (2019)

We are saddened about Jessica Starr’s death and convey our sympathy to her family, friends and all who are affected. According to the Centers for Disease Control and Prevention, suicide is one of the leading causes of death in the United States and one of the few that is rising. However, it cannot be reduced to any single cause, and there is no clinical evidence linking suicide to laser vision correction surgery.

Based on the 7,000+ studies conducted, the millions of satisfied patients and the successful twenty years in-market history, we are fully confident in the safety and efficacy of laser vision correction for qualified candidates.

The safety and the benefits of laser vision correction procedures have been recognized by organizations with the highest standards for safety and visual acuity — including the U.S. Military and NASA, who conducted their own independent research. Today, these organizations make laser vision correction procedures available to improve the vision of their most elite personnel, including sharpshooters and astronauts.

Not everyone is a candidate for laser vision correction and every individual must weigh the risks and benefits of an elective medical procedure. The Canadian Ophthalmological Society and the Canadian Cornea, External Diseases and Refractive Surgery Society actively support patient education efforts with the goal of ensuring those who are interested in laser vision correction get the information they need to make the right decision for themselves and their vision.

Anyone contemplating suicide or worried about a friend or loved one should contact the Canada Suicide Prevention Service (CSPS) at the following toll-free number: 1-833-456-4566. Services are available in English and French, 24 hours a day.

La chirurgie micro-invasive et mini-invasive du glaucome (2017)

Prise de position de la Société canadienne d’ophtalmologie (SCO)
et de la Société canadienne du glaucome (SCG)

(Decembre 2017)

Résumé

Les traitements chirurgicaux actuels du glaucome visent à réduire la pression intraoculaire (PIO) en diminuant la sécrétion d’humeur aqueuse ou en augmentant son élimination, ce qui réduit le risque de perte de champ visuel. Bien que la trabéculectomie et l’implantation d’un dispositif de drainage du glaucome soient la norme et soient les interventions chirurgicales les plus courantes pour le glaucome, elles sont souvent réservées aux patients atteints de maladie non contrôlée, au stade modéré à sévère, en raison du risque plus élevé de complications graves. La SCO et la SCG reconnaissent qu’il y a un vide dans les options de traitement entre les interventions médicales et chirurgicales traditionnelles pour les patients atteints de formes plus légères à modérée du glaucome, qui peuvent ne pas être traitées de façon optimale avec le protocole standard. Le ratio risque chirurgical/bénéfice est en faveur d’une procédure moins risquée pour ces patients.

Au cours de la dernière décennie, de nouveaux dispositifs et procédures médicaux, appelés collectivement CMIG (chirurgie micro-invasive ou minimalement invasive du glaucome) ont fait surface et sont disponibles pour les patients canadiens. Leurs caractéristiques principales comprennent une approche ab interno, une efficacité modérée, un profil de sécurité élevé, une récupération postopératoire rapide et un traumatisme tissulaire minimal. Ces procédures sont conçues pour améliorer la sécurité des interventions chirurgicales pour le glaucome, tout en procurant l’efficacité requise pour ralentir ou arrêter sa progression. L’inconvénient de ce profil chirurgical plus sécuritaire est que ces procédures, dans l’état actuel de leur développement, ne sont pas aussi efficaces pour réduire la PIO que les procédures standards de traitement du glaucome.

Les bénéfices démontrés de la CMIG incluent la réduction de la PIO, la diminution du besoin de médicaments, une récupération postopératoire rapide et des complications minimales. Les bénéfices supplémentaires, dont on poursuit l’étude, incluent le report ou la prévention d’une chirurgie du glaucome plus invasive, l’amélioration de la qualité de vie, la diminution du nombre de visites chez le médecin, la rentabilité et la prévention de perte visuelle.

Les indications actuelles pour la CMIG comprennent les patients qui subissent une chirurgie de la cataracte et qui nécessitent un traitement médical du glaucome, les patients qui ne sont pas en mesure de tolérer ou de respecter un traitement médical du glaucome, et les patients dont la pression intraoculaire n’est pas suffisamment bien contrôlée par un traitement médical ou au laser, sans clairement nécessiter une chirurgie invasive comme une trabéculectomie avec un dispositif de drainage du glaucome. La majorité des CMIG ne sont pas indiquées pour les patients qui présentent un glaucome à angle fermé.

Il y a un large consensus parmi les spécialistes du glaucome au Canada et à l’étranger, reposant sur les preuves actuelles et les courants de pratique, que la CMIG a effectivement sa place dans l’algorithme de traitement du glaucome. Vu le vieillissement de la population, qui court un risque plus élevé de glaucome, associé aux ressources limitées en matière de soins de santé, nous appuyons un accès équitable aux technologies innovantes comme la CMIG. Ces nouveaux traitements chirurgicaux peuvent combler le vide dans les traitements actuels, livrer de meilleurs résultats pour les patients et, idéalement, permettront d’optimiser l’utilisation du système de santé. Cette prise de position présente la position actuelle de la SCO et de la SCG sur la CMIG. Les deux sociétés appuient les technologies innovantes en ophtalmologie, continueront à surveiller ce domaine de pratique en évolution et mettront leur prise de position à jour selon les besoins.

La SCO et la SCG collaborent actuellement avec l’Agence canadienne des médicaments et des technologies de la santé (ACMTS) afin d’établir l’utilisation optimale de la CMIG chez les adultes atteints de glaucome selon les preuves actuelles.

Access Details

Read the full Position Statement from the Canadian Ophthalmological Society (COS) and the Canadian Glaucoma Society (CGS)
COS-CGS Position Statement on MIGSDownload

Calculatrices toriques de LIO

La liste de ressources qui suit propose des calculatrices toriques de LIO. Ces ressources informatives sont destinées aux médecins et aux autres professionnels de la santé qui participent au soin des patients. Elles visent à compléter les connaissances des médecins et des autres professionnels de la santé et à servir de guide. Il est impératif de noter que ces outils ne constituent pas des conseils médicaux et ne doivent pas être interprétés comme tels, et qu’ils ne sont pas destinés à remplacer les données médicales ou cliniques que renferment les étiquettes de produits et les directives accompagnant les produits. 

Calculatrices toriques de LIO (les sites sont en anglais) :

Section 1 : Activités d’apprentissage collectif

Section 1 : Activités d’apprentissage collectif : Activités comme des conférences, des clubs de lecture, de petits groupes et des congrès pouvant se tenir en personne ou sur le Web. Elles doivent satisfaire aux exigences de formation obligatoires suivantes pour être approuvées dans le cadre de la Section 1 du programme de MDC :

Pour obtenir de plus amples renseignements sur les normes d’agrément des activités de la Section 1, consultez le guide ici.

Section 2 : Autoapprentissage

Section 2 : Autoapprentissage : Les activités de cette section visent à répondre à des besoins précis, à faire connaître les nouvelles données potentiellement pertinentes à la pratique ou à améliorer la qualité des systèmes multiples. Elles ne nécessitent pas l’approbation d’un fournisseur de DPC agréé.

Apprentissage prévu

Un médecin propose des activités (de façon indépendante ou en collaboration avec des pairs ou des mentors) pour répondre à un besoin, aborder un problème, traiter d’une question ou définir un objectif lié à son exercice professionnel.

Exemples d’activités :

Exploration

Un médecin explore pour connaître les nouvelles données, les perspectives ou les découvertes liées à son exercice professionnel.

Exemples d’activités :

Apprentissage des systèmes

Cet apprentissage est stimulé par la participation à diverses activités : définition de normes d’exercice, sécurité des patients, amélioration continue de la qualité, élaboration de programmes, outils d’évaluation et élaboration de stratégies, comité d’examen ou révision par les pairs.

Exemples d’activités :

Où s’insère mon activité d’apprentissage?

Selon les normes d’agrément du programme de Maintien du certificat (MDC) du CRMCC, l’activité s’insère dans les sections suivantes.

Section 1 – Apprentissage collectif
Des activités comme des conférences, des clubs de lecture, de petits groupes et des congrès qui peuvent se tenir en personne ou sur le Web.

Section 2 — Autoapprentissage
Les activités de cette section visent à répondre à des besoins précis, à faire connaître les nouvelles données potentiellement pertinentes à la pratique ou à améliorer la qualité des systèmes multiples. Elles ne nécessitent pas l’approbation d’un fournisseur de DPC agréé.

Section 3 — Activités Évaluation
Cette section comprend des activités qui fournissent des données avec rétroaction aux médecins sur leur base de connaissance actuelle permettant de définir les besoins et de concevoir des formations pertinentes à leur pratique.

Section 3 — Simulation
La simulation de situations réelles permet aux participants de démontrer leur application des connaissances scientifiques et tacites, leur raisonnement clinique, leurs aptitudes en communication et en résolution de problèmes, ainsi que leur capacité de collaborer et de travailler efficacement au sein d’une équipe de soins de santé.

Le Programme de maintien du certificat (MDC)

Le Programme de maintien du certificat (MDC) du Collège royal des médecins et chirurgiens du Canada est un programme de développement professionnel continu fondé sur la preuve, créé pour appuyer, améliorer et promouvoir les activités de développement professionnel continu (DPC) des participants au Programme de maintien du certificat, y compris la Société canadienne d’ophtalmologie (SCO).

Le Comité du MDC de la SCO est un sous-comité du Conseil du DPC de la SCO. Le comité assure le leadership en regard du maintien des normes du CRMCC pour les fournisseurs agréés, dans tout le programme de DCP de la SCO. Le Comité du MDC approuve les offres de DPC agréées de grande qualité et respectueuses de l’éthique qui sont mises au point par des organisations de médecins à l’intention des ophtalmologistes canadiens et il facilite la collaboration avec d’autres partenaires en DPC pour la création conjointe d’offres de DPC agréées de grande qualité et respectueuses de l’éthique. Membres du comité du MDC : Dr Colin Mann, président, Dre Chloe Gottlieb, Dr Glen Hoar, Dr Phil Hooper et Dr Robert Schertzer.